lundi 2 octobre 2023

Reprise des travaux

Trois années sans s'occuper de Pascaline... Pas d'excuses mais une série d'évènements qui nous ont séparé. Mais soyons positif, la retraite a sonné, je m'y remets !

L'embrayage est usé à l'extrême et je n'ai toujours pas trouvé ni un embrayage d'occasion, ni le bronze pour en usiner un nouveau. Je mets donc cette tâche de côté et m'attaque à la réfection de l'embiellage.

Rien de bien compliqué, mais la crainte de casser la vis de liaison des deux volants tellement elle est serrée. La vis traverse le maneton de tête de bielle. Une fois débloquée, puis dévissée et ôtée, un petit casse-tête se pose. Le maneton est conique à ses extrémités et je n'ai pas d'outil pour exercer une pression d'écartement suffisante pour désaccoupler les deux volants. La tige d'un porte douille ayant un diamètre extérieur supérieur de 1 mm à l'écartement des volants, je l'utilise comme "coin" à frapper en comptant sur la section circulaire de la tige pour progresser sans abîmer les volants. Impeccable !

La vis de liaison du maneton

L'outil pour désaccoupler les volants

Séparation des deux volants

Les volants séparés je découvre la tête de bielle dont la rotation autour du maneton s'effectue par des rouleaux d'acier interposés (roulement à galets).

Roulement à galets

Et comme d'habitude, la vaisselle avant le remontage qui devra être très soigné (alignement des axes de vilebrequin, dégauchissage des volants). Et pour bien faire, trouver de nouveaux petits rouleaux !

Vaisselle et brossage


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